Aller au contenu
Human Rights Measurement InitiativeHuman Rights Measurement Initiative
  • Français
    • English
    • Español
    • Português
    • Русский
    • 简体中文
  • Utiliser les donnéesDéplier
    • Explorer les données
    • Méthodologie
    • Mise en lumière des pays
    • Données pour les ODD
    • Données pour l’examen périodique universel (EPU)
  • Notre impactDéplier
    • Une nécessité pour de meilleures données
    • Données en action
    • Données sur les droits humains dans les médias
  • ParticiperDéplier
    • Faire un don
    • Etendre la couverture des pays
    • Nouveaux domaines de travail
    • Ressources
  • A ProposDéplier
    • Nos activités
    • Actualités et événements
    • Bulletins d’informations
    • Les publications
    • Financement et soutien
    • FAQ
    • Contactez HRMI

  • Français
    • English
    • Español
    • Português
    • Русский
    • 简体中文

Human Rights Measurement InitiativeHuman Rights Measurement Initiative

Accréditations de recherche

HRMI s’efforce de créer une base de données complète, solide et facile d’accès sur les performances des pays en matière de droits humains.

La HRMI représente une communauté internationale et indépendante, financée par des subventions et des donations.

La HRMI n’est pas une organisation de défense. Elle a pour but d’amplifier la voix des défenseurs des droits humains en fournissant à la société civile, aux chercheurs et aux états des données fiables, comparables et représentatives sur les droits humains entre les pays, dans le but d’améliorer la vie des populations partout sur la planète.

Certains procédés de conception collective sont essentiels dans la méthodologie de la HRMI pour garantir que nos données prennent en compte précisément l’expérience des praticiens en droits humains et rejoignent les standards de haut niveau des universitaires.

De quelle manière ces données seront-elles utiles ?


La HRMI comble une lacune dans la prise de mesure des accomplissements des pays en matière de droits humains grâce à des données fiables, comparables et représentatives entre les pays. Ces données sont utiles dans plusieurs domaines :

  • La société civile peut utiliser les données de la HRMI dans des comptes-rendus et des plaidoyers, particulièrement pour mettre en évidence des tendances au fil du temps, des domaines spécifiques à améliorer et des comparaisons entre nations paires.
  • Les journalistes et les observateurs des droits humains peuvent utiliser ces données comme des chiffres contextuels à des fins d’études de cas et de témoignages sur une population en particulier.
  • Les gouvernements peuvent utiliser ces données dans des négociations avec d’autres pays, notamment dans le domaine du commerce, de l’assistance et du développement.
  • Les entreprises peuvent utiliser ces données pour déterminer la façon de gérer les flux directs de capitaux.

Qui réalise la recherche et les analyses ?

Dre Susan Randolph

Dre Susan Randolph

Dre Susan Randolph

Dre Susan Randolph est cofondatrice de la HRMI et elle dirige le service des droits économiques et sociaux. Susan est économiste en développement, codirectrice de l’« Economic and Social Rights Empowerment Initiative » et professeure associée émérite en économie à l’Université du Connecticut.

Son livre, « Fulfilling Social and Economics Rights » (Répondre aux droits économiques et sociaux),coécrit avec Sakiko Fukuda-Parr et Terra Lawson-Remer (Oxford University Press, 2015), qui décrit la méthodologie de la HRMI actuellement utilisée, a remporté le prix annuel du meilleur livre de 2016 de l’« American Political Science Association » (l’Association des sciences politiques américaines), section des droits humains. En 2019, les trois auteurs ont remporté le prix Grawemeyer « Ideas Improving World Order » (Idées pour améliorer l’ordre de la planète).

Susan a un Ph. D en économie de l’Université Cornell. Son curriculum vitæ complet est disponible ici.


Cofondateur de la HRMI, le Dr K Chad Clay dirige la conception et le développement de nos mesures concernant les droits civils et politiques. Chad est un scientifique politique qui effectue des recherches et enseigne sur les droits humains, les relations internationales et l’économie politique à l’école des Affaires publiques et internationales de l’Université de Géorgie où il est directeur du « Center for the Study of Global Issues » (GLOBIS).

Chad a publié dans des journaux de premier plan et a plus de dix ans d’expérience dans le domaine de l’évaluation des droits humains, tout en étant codirecteur du projet de données CIRI sur les droits humains (maintenant archivé).

En 2012, Chad a obtenu un Ph. D. en sciences politiques de l’Université de Binghamton. Son curriculum vitae complet est disponible ici.

Dr K Chad Clay

Responsable de la conception des méthodologies et recherches

Dr K Chad Clay

Participants à la conception collective


La HRMI utilise un procédé de conception collective pour garantir que les expériences de tous les praticiens en droits humains à travers le monde sont prises en compte dans la présentation des méthodologies et des données. Chaque étape de l’initiative a été conçue de façon collective par une grande diversité de participants lors d’ateliers internationaux et elles ont été minutieusement testées selon de nombreux paramètres. Plusieurs organisations de la société civile ont envoyé leur personnel à ces ateliers et leur expertise a contribué au développement des méthodologies de la HRMI.

Par conséquent, nos résultats ont été largement acceptés par les praticiens et les communautés universitaires.

Siège social en Nouvelle-Zélande


L’Initiative pour la mesure des droits humains est un collectif international de praticiens et d’universitaires spécialisés en droits humains. Ce collectif est basé au Centre de recherche sur les politiques publique et économique de l’organisation MOTU situé à Wellington, en Nouvelle-Zélande. Ce centre est l’un des dix plus importants centres d’étude et de recherche économiques au monde, et l’un des dix plus importants spécialisés en changements climatiques.

La cofondatrice et cheffe au développement de la HRMI, Anne-Marie Brook, est membre associée en politique de l’organisation MOTU et membre associée de la Fondation Edmund Hillary.

La HRMI dispose également d’une base opérationnelle au sein du GLOBIS, le Centre d’étude des problèmes mondiaux (Center for the Study of Global Issues) de l’université de Géorgie, aux États-Unis.

Indépendance de nos bailleurs de fonds


La HRMI a pris de fermes engagements en matière d’indépendance. Elle exige l’acceptation d’une clause en la matière pour tous ses contrats de financement. La liste complète des bailleurs de fonds est dévoilée sur le site web de la HRMI.

Données de la HRMI relatives aux droits économiques et sociaux

Le caractère unique et l’importance des données de la HRMI relatives aux droits économiques et sociaux résident dans la méthodologie de l’index SERF (Index de la réalisation des droits économiques et sociaux), développée par Susan Randolph et ses collègues Sakiko Fukuda-Parr et Terra Lawson-Remer. L’Index SERF compare l’accomplissement d’un pays selon des indicateurs clés avec le niveau d’accomplissement réalisé dans le même domaine par d’autres pays d’un même niveau de revenus. La HRMI peut ainsi mesurer le niveau d’utilisation des ressources par un pays en vue de la réalisation progressive des droits de ses habitants.

Cette méthodologie a été soigneusement révisée entre pairs pendant de nombreuses années. Ses créateurs ont reçu deux distinctions prestigieuses : le prix du meilleur ouvrage décerné par la section Droits Humains de l’American Political Science Association en 2016, ainsi que la récompense Grawemeyer des idées qui améliorent l’ordre mondial.

Ainsi que le livre primé « Fulfilling Social and Economic Rights», voici deux articles publiés au sujet de cette méthodologie dans des revues avec comité de lecture :

« Economic and Social Rights Fulfillment Index: Country Scores and Rankings», Susan Randolph, Sakiko Fukuda-Parr et Terra Lawson-Remer, dans le Journal of Human Rights, volume 9, n° 3 (2010), pp. 230-61.

« Measuring the Progressive Realization of Human Rights Obligations: An Index of Economic and Social Rights Fulfillment», Sakiko Fukuda-Parr, Terra Lawson-Remer, et Susan Randolph, dans le Journal of Human Rights, vol. 8, n° 3 (2009), pp. 195-221.

Au sujet des droits économiques et sociaux, la HRMI a publié des données sur 10 ans, couvrant jusqu’à 195 pays selon le droit abordé. Les graphiques des tendances temporelles sont disponibles sur le site web consacré aux données de l’Initiative pour la mesure des droits humains.

Pour les pays qui font partie de notre collecte de données sur les droits civils et politiques, les groupes dont les droits économiques et sociaux sont à risques y sont aussi répertoriés.

Données de la HRMI sur les droits civils et politiques

Les violations de droits civils et politiques tendent à être masqués et sous-estimés. Pour aborder ces problèmes, la HRMI recueille certains renseignements à l’aide d’une enquête réalisée auprès d’experts plurilingues. Ces praticiens en droits humains, provenant de chaque pays, sont sollicités pour donner leur opinion sur une série de questions liées aux droits humains. La HRMI utilise ensuite ces données pour effectuer des mesures qui comprennent un plus grand nombre de renseignements que ce qui était disponible auparavant, notamment sur les violations liées aux droits humains qui ne sont pas signalées en public.

Une des forces de cette approche est l’accès qu’elle offre à des informations provenant d’organisations internationales, régionales, nationales et locales, ce qui nous donne un bassin diversifié de perspectives. Une autre force réside dans l’utilisation de techniques statistiques avancées pour combiner les interventions et garantir leur comparabilité. Cela génère des données en matière de droits civils et politiques qui sont comparables entre pays, ainsi que des informations transparentes sur des incertitudes statistiques sous la forme de marges d’incertitude entourant nos mesures.

La méthode de la HRMI recueille aussi des renseignements sur les populations qui sont particulièrement à risque de chaque type d’abus dans un pays, et des informations quantitatives sur les interventions pour donner d’autres détails sur le contexte entourant les violations dans chaque pays.

La HRMI procède annuellement à une enquête réalisée auprès d’experts pour étendre sa couverture à un plus grand nombre de pays. En 2020, la HRMI prévoit de couvrir plus de 30 pays.

Cette méthodologie de classe mondiale a été soulignée dans un article d’une revue à comité de lecture, le «Journal of Human Rights», et dans un autre préparé pour le «Journal of Peace Research» :

«Human rights data for everyone: Introducing the Human Rights Measurement Initiative (HRMI)», Anne-Marie Brook, K Chad Clay et Susan Randolph, dans le« Journal of Human Rights », volume 19, no 3 (2020), pp. 67-82, offert en téléchargement gratuit de format PDF.

«Using practitioner surveys to measure human rights: The Human Rights Measurement Initiative’s civil and political rights metrics», K Chad Clay, Ryan Bakker, Anne-Marie Brook, Daniel W Hill, Jr, and Amanda Murdie, dans le « Journal of Human Rights », Octobre 2020, offert en téléchargement gratuit de format PDF.

FAQs

Méthodologie en matière de droits civils et politiques

Pour la majorité des mesures que possède la HRMI en matière de droits civils et politiques, aucune donnée actuellement recueillie n’est suffisamment objective, fiable et comparable entre pays.

Ces violations aux droits ont tendance à survenir à l’abri des regards. Les gouvernements sont souvent en position d’être au fait de ces violations, mais ils se trouvent en conflit d’intérêts lorsque vient le temps de publier des données précises sur ces violations.

Les meilleures sources d’informations sont les experts en droits humains, ceux qui quotidiennement portent leur attention aux violations des droits dans un pays : les observateurs en matière de droits humains pour des ONG locales ou internationales, les journalistes ou les avocats en matière de droits humains. C’est auprès de ces personnes que sont réalisées les enquêtes de la HRMI.

Des recherches exhaustives nous ont confirmé que ces personnes sont des informateurs fiables (Hill, Moore et Mukherjee, 2013).

Une méthodologie d’enquête réalisée auprès d’experts, telle que celle qu’utilise la HRMI, exige au moins trois répondants experts. Cela ressemble un peu à la réunion d’un panel d’experts pour conseiller le ministère d’un gouvernement.

La HRMI établit qu’au moins cinq répondants par pays sont nécessaires. Nous ne publions aucune donnée pour un pays si ce nombre est plus faible. En 2019, chaque pays comportait entre 6 et 19 experts, ce qui donne une moyenne de 11.

Pour chaque pays qui a participé en deux occasions, le nombre de participants augmente la deuxième année.

En 2019, nous avons recueilli des données sur l’expertise que possédaient nos participants. Nos participants pouvaient choisir une ou plusieurs options parmi les quatre suivantes :

L’enquête demande aussi de spécifier dans quel domaine des droits humains les participants concentrent leur travail. Le nombre moyen d’options que ces personnes choisissaient était de 5,2.

Existe-t-il un risque de biais ?

Les questions posées dans l’enquête de la HRMI ne demandent aucun jugement de valeur. Elles concernent plutôt la fréquence des violations en matière de droits humains telles que définies par les lois internationales.

Vous trouverez ci-dessous un exemple tiré de l’enquête de 2020 :

De plus, l’utilisation de vignettes d’ancrage (comme ci-dessous) permet de prendre en compte la sensibilité des différents répondants aux abus.

L’une des meilleures raisons de choisir une méthode d’enquête réalisée auprès d’experts est que les résultats peuvent être comparés entre pays et dans le temps.

L’une des meilleures raisons de choisir une méthode d’enquête réalisée auprès d’experts est que les résultats peuvent être comparés entre pays et dans le temps.

L’un des éléments importants est l’intégration de vignettes d’ancrage. En plus de répondre à des questions sur la fréquence des violations en matière de droits humains dans un pays précis dont ils sont experts, les participants doivent répondre à des questions qui concernent trois pays fictifs et répondre à des questions sur exactement la même échelle. Les vignettes fournissent une courte description des violations de droits qui sont survenues dans ces pays fictifs. Un des pays fictifs serait identifié par plusieurs violations sévères, un autre n’aurait presque aucune violation, et le dernier se situerait au milieu.

L’un des éléments importants est l’intégration de vignettes d’ancrage. En plus de répondre à des questions sur la fréquence des violations en matière de droits humains dans un pays précis dont ils sont experts, les participants doivent répondre à des questions qui concernent trois pays fictifs et répondre à des questions sur exactement la même échelle. Les vignettes fournissent une courte description des violations de droits qui sont survenues dans ces pays fictifs. Un des pays fictifs serait identifié par plusieurs violations sévères, un autre n’aurait presque aucune violation, et le dernier se situerait au milieu.

La HRMI combine une méthode en boule de neige, des recommandations provenant d’organisations partenaires de confiance et des ambassadeurs locaux pour s’assurer qu’un groupe d’experts compétents contribue à la collecte de données.

La HRMI combine une méthode en boule de neige, des recommandations provenant d’organisations partenaires de confiance et des ambassadeurs locaux pour s’assurer qu’un groupe d’experts compétents contribue à la collecte de données.

La HRMI combine une méthode en boule de neige, des recommandations provenant d’organisations partenaires de confiance et des ambassadeurs locaux pour s’assurer qu’un groupe d’experts compétents contribue à la collecte de données.

En 2019, la HRMI a mis en œuvre l’enquête réalisée auprès d’experts de 19 pays. En 2020, l’enquête couvrira plus de 30 pays. Grâce à un financement en croissance, le reste de la planète pourrait être couverte au cours des 2 à 3 années suivantes. Veuillez consulter la page Couverture des pays pour obtenir la liste la plus récente des pays inclus dans notre collecte de données.

Même si moins de la moitié du globe est couverte, les données disponibles de chaque pays sont utiles de différentes façons.

Chaque pays inclus dans l’enquête obtient un score sur un maximum de 13 droits humains (y compris jusqu’à 5 droits économiques et sociaux). Ces scores peuvent être surveillés au fil du temps, grâce à l’enquête qui se répète chaque année.

Ces scores peuvent être présentés dans un plaidoyer en faveur des droits humains et dans le domaine journalistique comme l’une des rares données quantitatives disponibles qui démontre la progression d’un pays à répondre aux droits humains de sa population. Notre site Web ici et ci-dessous présente quelques exemples d’organisations médiatiques qui utilisent les données de la HRMI pour étoffer des articles.

Pour chaque droit, la HRMI signale aussi quels groupes de personnes sont particulièrement susceptibles de violations de leurs droits. Ces perspectives peuvent générer de nouveaux témoignages et soutenir les plaidoyers de ces personnes ou ceux faits en leur nom.

Merci de l’intérêt que vous portez à la HRMI. N’hésitez pas à nous suivre sur Twitter, YouTube, Facebook, et LinkedIn. Inscrivez-vous à nos bulletins d’information occasionnels ici.

Twitter Facebook YouTube Linkedin
Explorer les données

Politique de confidentialité

Contenu du site web © HRMI. Sauf indication contraire, tout le contenu est sous licence Creative Commons Attribution-Non Commercial 4.0 International.

We'd like to store cookies and usage data to improve your experience.

For any website to function, it is necessary to collect a small amount of user data, so by continuing to use this website, you are consenting to that. To find out more, please read our Privacy Policy

Functional Toujours activé
The technical storage or access is strictly necessary for the legitimate purpose of enabling the use of a specific service explicitly requested by the subscriber or user, or for the sole purpose of carrying out the transmission of a communication over an electronic communications network.
Preferences
The technical storage or access is necessary for the legitimate purpose of storing preferences that are not requested by the subscriber or user.
Statistics
The technical storage or access that is used exclusively for statistical purposes. The technical storage or access that is used exclusively for anonymous statistical purposes. Without a subpoena, voluntary compliance on the part of your Internet Service Provider, or additional records from a third party, information stored or retrieved for this purpose alone cannot usually be used to identify you.
Marketing
The technical storage or access is required to create user profiles to send advertising, or to track the user on a website or across several websites for similar marketing purposes.
Gérer les options Gérer les services Gérer {vendor_count} fournisseurs En savoir plus sur ces finalités
View preferences
{title} {title} {title}
  • Utiliser les données
    • Explorer les données
    • Méthodologie
    • Mise en lumière des pays
    • Données pour les ODD
    • Données pour l’examen périodique universel (EPU)
  • Notre impact
    • Une nécessité pour de meilleures données
    • Données en action
    • Données sur les droits humains dans les médias
  • Participer
    • Faire un don
    • Etendre la couverture des pays
    • Nouveaux domaines de travail
    • Ressources
  • A Propos
    • Nos activités
    • Actualités et événements
    • Bulletins d’informations
    • Les publications
    • Financement et soutien
    • FAQ
    • Contactez HRMI
Rechercher